Oiseaux de La Réunion > En savoir plus sur les oiseaux et l'ornithologie

Qu'est-ce qu'un oiseau ?

Qu'est-ce qu'un oiseau ?

L'anatomie et la morphologie

Les oiseaux sont des tétrapodes. Ils possèdent quatre membres dont deux qui sont adaptés au vol (les ailes) et deux sont adaptés au déplacement au sol ou pour s'accrocher (les pattes).


Pour voler et planer, l'oiseau doit être léger et avoir une surface  importante qui lui permet d'être porté par l'air.


Il possède des adaptations spécifiques à ce mode de déplacement: des os légers (schéma), des sacs aériens, des ailes larges et allongées et une forme aérodynamique pour pénétrer dans l'air.

Les muscles sollicités pour le vol sont reliés au squelette et attachés sur un os particulier le bréchet (schéma).

A titre d'exemple, le Papangue a une envergure de 1.10 à 1.50m pour un poids de 650 gr à 1kg seulement.

Un oiseau est un animal vertébré, cela veut dire qu’il a un squelette.



Comparaison du squelette avec celui de l'Homme

Squelette d'un oiseau :

 



Squelette d'un homme



Régime alimentaire

Régime alimentaire

Suivant les espèces, les oiseaux n’ont pas tous le même régime alimentaire.

C’est pour cela que la forme de leur bec est différente en fonction de la nourriture absorbée.

 

Les INSECTIVORES attrapent des insectes :
- en vol comme l’Oiseau la Vierge, la Salangane, l’Hirondelle…
- sur la végétation comme le Tuit-tuit qui se nourrit de chenilles, de phasmes, de petites araignées. C’est d’ailleurs, pour cela, qu’on l’appelle aussi un « Echenilleur ". Leur bec est pointu et fin.

 

Les FRUGIVORES picorent les fruits. Leur bec est pointu.

 

Les NECTARIVORES puisent le nectar des fleurs. Leur bec est long et pointu.

 

Les GRANIVORES mangent des graines.
Leur bec est court, massif et puissant comme celui du Coutil, du Cardinal, du Serin ou de la Perruche.
Il leur permet d’ouvrir les coques des graines.

 

Les CARNIVORES comme le Papangue se nourrissent de viande : rats, lézards, musaraignes, petits tangues.
Leur bec est crochu, puissant et peut déchiqueter un petit animal.
On dit aussi qu’un oiseau peut être « charognard » c'est-à-dire qu’il mange un animal déjà mort.
Le Papangue peut être charognard et c’est ainsi qu’il est régulièrement empoisonner en ingérant des rats empoisonnés.

 

Les PISCIVORES pêchent des poissons.
Ce sont les oiseaux marins qui mangent du poisson, des crustacés (crevettes), des mollusques (calmars).
Leur bec est allongé et pointu comme le Noddi, le Héron, le Paille en queue… et parfois un peu crochu comme les Pétrels, les Puffins. Ils pêchent en surface ou peuvent aussi plonger pour attraper les poissons plus profondément.

Les échassiers (oiseaux migrateurs que l’ont peut observer pendant l’hiver austral sur les côtes de La Réunion : Bécasseau Cocorli, Bécasseau sanderling, Courlis Corlieu…) ont souvent un bec long et fin parfois courbé. Ils peuvent ainsi fouiller le sable en bord de mer à la recherche de petits vers, de mollusques, ils attrapent aussi des petits alevins (bébés poissons) ou de petits crabes.

 

Les oiseaux ont un type de nourriture bien précis, mais peuvent aussi varier leur alimentation.
Par exemple, l’Oiseau-lunettes gris est essentiellement frugivore mais se nourrit aussi de nectars de fleurs et d’insectes.
L’Oiseau-vert est essentiellement nectarivore mais peut aussi se nourrir de fruits et d’insectes.
Le Merle pays est frugivore et insectivore.
Certains ont un régime alimentaire très varié comme
le Martin triste qui se nourrit d’insectes, de fruits, de graines, d’œufs, d’oisillons, de petits rongeurs et de cadavres de petits animaux.


Les oiseaux sont aussi être OPPORTUNISTES c'est-à-dire qu’ils profitent des occasions qui se présentent.
Par exemple, le Tec-tec qui est plutôt insectivore (chenilles, papillons…), mange aussi de petits vers de terre mais vient aussi picorer les miettes laissées par les randonneurs au bord du chemin.

 

Suivant les saisons, les oiseaux peuvent être amenés à changer de régime alimentaire.
En hiver, en métropole, les insectivores ne trouvent plus d’insectes à cause du froid, ils mangeront donc des graines ou alors migreront vers des pays chauds.

 



Le vol

Le vol

Contrairement à ce qu'il est logique de penser tous les oiseaux ne peuvent pas voler.

Le vol nécessite une certaine légèreté. Tous les oiseaux qui volent ont un poids inférieur à 18 kilos. 

L'Autruche qui est bien un oiseau, ne peut pas voler car son poids moyen est de 90kg.  Elle se déplace en courant parfois jusqu'à 60km/h

Le Manchot et le Kiwi sont des oiseaux qui ne volent pas non plus. Ils se déplacent de manière différente. Il n'en reste pas moins qu'ils sont des oiseaux.

Chaque espèce d'oiseau a sa propre technique de vol qui dépend souvent de la taille de ses ailes mais aussi de son mode de vie.

 

Un oiseau de petite taille aura tendance a effectuer de nombreux battements d'ailes pour se déplacer, c'est ce qu'on appelle  le  vol battu qui concerne une grande majorité d’oiseaux. Par exemple le Colibri, qui est le plus petit oiseau du monde, va battre des ailes très rapidement et va faire du "sur place" voire voler à reculons. Le battement de ses ailes est si rapide qu'il crée une sorte de bourdonnement (200 battements d'ailes par secondes). Cette technique demande un fort apport énergétique, et les oiseaux qui la pratiquent ont une musculature très développée.

 

D'autres oiseaux plus grands qui disposeront de plus grandes ailes vont utiliser le "vol plané". Ce type de vol est caractéristique, il consiste à voler sans battre des ailes et à utiliser l’énergie thermique. Les grands planeurs, comme les rapaces, utilisent notamment certains courants aériens, les courants jet, pour économiser encore leurs ressources.Les oiseaux marins comme les rapaces qui ont de grandes ailes peuvent planer et parcourir de nombreux kilomètres.



Le vol des oiseaux :



Le chant

Le chant

Si les oiseaux ont un odorat très peu développé, ils ont par contre un appareil vocal très performant et très diversifié.
En effet, on peut reconnaître un oiseau grâce à son chant mais attention ils sont capables de produire des chants très différents selon ce qu'ils expriment, il peut avoir plusieurs fonctions, que nous allons voir ci dessous !

 

Les fonctions du chant

1. le chant pour conquérir son territoire : un oiseau va chanter lorsqu'il voudra définir et/ou protéger son territoire. C'est un moyen d'avertir et de dissuader les envahisseurs. La recherche et la défense du territoire tout comme le chant, en général, sont l'exclusivité des mâles.

2. C'est également les mâles qui vont utiliser le chant comme moyen de séduction. Le mâle va chanter pour attirer une femelle. Celle-ci choisira son partenaire en fonction de la qualité due son chant. Un chant puissant et clair est caractéristique d'un mâle en bonne santé possédant un territoire de qualité idéal pour la reproduction et la survie de l'espèce.

3. Enfin le chant est comme une carte d'identité pour l'oiseau. Même s'ils appartiennent à la même espèce, les individus pourront se distinguer par rapport à leur chant, grâce à leur rythme, leur tonalité et leur variété. Une même espèce a bien un chant commun mais elle possède des variations qui sont propres à chaque individu. Cela va permettre de repérer des individus étrangers des individus familiers. (par exemple les voisins).


A la différence du chant, les cris ont encore des fonctions particulières : les cris servent plutôt à la localisation et la coordination des activités : par exemple pour les relations entre parents et jeunes ou pour le maintien du couple et de la cohésion au sein d'un groupe pour les migrations ou éviter que les oiseaux se dispersent.
Les cris peuvent aussi servir à une information sur l'environnement : par exemple des cris d'alarme qui préviennent de l'arrivée d'un prédateur, des cris de rassemblement ou encore des cris de détresse quand un oiseau se sent en danger.
Enfin, des cris indiquant la présence de nourriture où la demande de nourriture, comme les cris des jeunes réclamant à leurs parents.

 



La reproduction

La reproduction

7 grandes étapes de la reproduction :

1. - Le territoire

2. - La construction du nid et la parade nuptiale

3. - L'accouplement

4. - L'incubation

5. - Le nourrissage

6. - L'envol et l'apprentissage

7. - L'émancipation

À La Réunion, les oiseaux s'accouplent généralement durant l'été austral. Ils ont des façons très différentes de choisir leur partenaire et de s'accoupler.

Ils vont se séduire de manières diverses en se livrant à des démonstrations spectaculaires appelées parades nuptiales, en effectuant des ballets aériens gracieux, en changeant de couleur (ils muent) ou encore en chantant. Généralement, c'est le mâle qui va produire des chants ou cris afin d'attirer une femelle.

Lorsque certains oiseaux se retrouvent sur le même site de reproduction, la parade peut devenir collective. Les mâles s'affrontent alors sous l'oeil des femelles.


Une fois l'accouplement effectué, les oiseaux pondent des oeufs dans le nid qu'ils ont préalablement construit.

Cependant, toutes les espèces ne bâtissent pas leur nid de la même façon, ni avec les mêmes matériaux : ils peuvent être d'origine végétale comme des tiges des feuilles, du lichen ou de la mousse, de la paille, des brindilles de filaos... mais aussi des plumes, de la boue, des cailloux ou encore des morceaux de plastiques.

Les oeufs sont souvent couvés par la femelle mais cela peut se dérouler alternativement par le mâle et la femelle.

 



Origine des oiseaux de La Réunion

Origine des oiseaux de La Réunion

La Réunion est née d'un volcan émergeant des profondeurs sous-marines il y a près de 3 millions d'années le Piton des Neiges.
Le Piton de la Fournaise émerge il y a 500 000 ans et les deux volcans créent peu à peu l'île.
Le Piton des neiges s'éteint il y a 12 000 ans mais le Piton de la Fournaise reste actif aujourd'hui encore.

La Réunion qui se trouve dans une zone du monde à forte pluviométrie, voit ses paysages modifiés par les fortes pluies, les cyclones et les tempêtes tropicales.
L'effondrement du dôme du Piton des Neiges survient entre 200 000 ans et 30 000 ans en arrière et forme les trois cirques de l'île: Mafate, Cilaos et Salazie.  L'eau creuse les montagnes et dessine les ravines et les rivières.
Les plantes, sous forme de graines, arrivent par la voie des airs, par la mer ou transportées par les animaux. Elles proviennent, d'Afrique, d'Asie mais aussi d'Indonésie.

Grâce à l'eau présente sur l'île, la vie se construit peu à peu. Là où la flore nait, la vie animale prend forme également.


D'abord la faune aquatique: bichique et anguille, poisson d'eau de mer et d'eau douce remontent les rivières.
Les insectes arrivent sur La Réunion emportés par les vents et les cyclones mais aussi par "rafting". Les araignées ou lézard pondant des oeufs dans des morceaux de bois sont emportés par la mer et arrivent sur l'île. C'est ainsi que certaines espèces animales font leur apparition.

Les oiseaux quant à eux arrivent de deux façons différentes sur l'île de La Réunion:
Les espèces ayant une grande autonomie de vol ont pu arriver seules par voie des airs.
Il s'agit des oiseaux comme les Pétrels : Le Puffin du Pacifique, le Puffin Tropical, Le Pétrel noir de Bourbon, le Pétrel de Barau mais aussi le Noddi Brun, le Paille-en-queue, le Papangue, le Héron strié, le Ramier et l'Hirondelle de Bourbon et la Salangane.

D'autres espèces non-migratrices, comme les passereaux, ont été emportées par les tempêtes et les cyclones. C'est le cas de l'Oiseau La vierge, le Merle pays, l'Oiseau blanc, le Tec-tec, l'Oiseau vert et le Tuit-tuit.

Puis, il y a près de 450 ans l'homme a débarqué sur l'île apportant avec lui de multiples espèces, tant animales que végétales qui vont la coloniser. On dit que ces espèces sont exotiques : elles ne sont pas venues par voie naturelle mais elles ont été introduites, de façon volontaire ou involontaire par l'homme.

Depuis l'arrivée de l'homme, 22 espèces d'oiseaux ont disparus de La Réunion, 9 sont désormais endémiques, 11 sont indigènes. On dénombre 26 espèces d'oiseaux exotiques.

Un oiseau indigène est un oiseau qui est arrivé naturellement sur l’île de la Réunion avant la colonisation de celle-ci par les hommes.

Un oiseau endémique est un oiseau qui ne vit que dans une région restreinte du monde. Un oiseau endémique de La Réunion n’existe donc qu’à la Réunion.

Dans les articles suivants, nous allons pouvoir découvrir tous les oiseaux observables à La Réunion, tant les oiseaux nicheurs que les oiseaux migrateurs, que nous avons divisé en sous-catégorie en fonction de leur habitat: les oiseaux des champs et des jardins, les oiseaux forestiers et les oiseaux marins. (cliquer sur l'une des catégories pour les découvrir)



Les oiseaux migrateurs de La Réunion

Qu’est ce qu’un oiseau migrateur ? C’est un oiseau qui, chaque année, à l'automne quitte son lieu de reproduction et entame un long vol vers des zones d’hivernage,  entre deux zones géographiques différentes parfois situées à plusieurs milliers de kilomètres ; il effectuera le voyage en sens inverse  au printemps.

Durant ces semaines de trajet, les oiseaux devront traverser diverses barrières naturelles hostiles (mers, montagnes, déserts), subir des conditions météorologiques parfois difficiles, s’accommoder des vents, trouver des sites de halte leur permettant de reconstituer leurs réserves de graisse et surtout, trouver leur chemin.

Il y a plusieurs raisons à cela, tout d’abord la migration est contrôlée par le système hormonal de l'oiseau, et dépend de son régime alimentaire qui les rend dépendants des milieux où ils vivent. Ainsi durant la mauvaise saison, pour des raisons de survie, ils sont obligés de chercher ailleurs la nourriture qui n’est plus disponible dans leur région de reproduction.

Il y a différents oiseaux migrateurs à la Réunion : les marins, les limicoles, et les rapaces.

Chez les Marins nous pouvons compter le Labbe Brun (ou l’Assassin).

Chez les rapaces nous pouvons voir le Faucon Eléonore et le Faucon Concolore

Chez les Limicoles, le Héron garde-bœuf, le Courlis Corlieu, le Chevalier Guignette. le Tournepierre à collier, les bécasseaux.

*Qu’est ce qu’un limicole ? Limicole vient du latin « limus » qui veut dire limon, boue. Les oiseaux limicoles sont pourvus de pattes et d’un bec assez longs, voire très longs, qui leur permettent de fouiller les vases à la recherche des vers et mollusques. Ces oiseaux fréquentent généralement les milieux marécageux et les zones humides.

 



Oiseaux marins

Oiseaux marins

Le Labbe Brun ou Assassin, surnommé ainsi à cause de sa réputation de voler les proies des oiseaux marins, en les assommants ce qui parfois les tuent. Son plumage est très sombre, on l’observe en mer ou près des côtes. Il est chez nous durant l’été austral (décembre-avril), et retourne dans les îles Australes, ou l’Antarctique en septembre, octobre.



Limicoles

Limicoles

Le Chevalier Guignette, il est court sur pattes avec une grande queue, son plumage est gris-brun et son ventre blanc bien distinct, . Tu le trouveras près des rivières et station d’épuration. Il migre d’Asie jusqu’en Afrique du Sud.



Le Courlis Corlieuon le reconnait à son long bec recourbé, et ses hautes pattes. Son plumage est gris-brun strié sur les ailes et le dos, on peut observer deux bandes sombres sur le haut de sa tête avec une ligne claire au milieu et des sourcils clairs au dessus des yeux. Tu peux le  croiser sur la plage ou au bord des rivières de l’île. Il migre entre la  Russie et l’Afrique du sud. Il mange principalement des mollusques, des vers et parfois des insectes dans les zones moins humides.



Rapaces

Rapaces

Le Faucon d’Eléonorecet  oiseau nous vient de très loin, en effet il niche en méditerranée. Il arrive près de nos côtes courant octobre. La période de reproduction (la ponte) a lieu mi-juillet près des îles méditerranéenne, ce qui permet  aux adultes de nourrir leurs poussins avec des passereaux migrateurs capturés en vol qui passent en automne entre l’Europe et l’Afrique.  A ne pas confondre avec le Faucon concolore, 1 Faucon d’Eléonore sur 4 est aussi sombre. Quand aux autres, ils sont brun gris sur le haut et rayé brun noir, blanc sur le ventre.



Charte déontologique d’approche et d’observation de la faune sauvage

Charte déontologique d’approche et d’observation de la faune sauvage

Approcher les oiseaux pour les observer est une chose, le faire sans provoquer de dérangement en est une autre. Voici quelques règles à respecter afin de pouvoir étudier leur comportement, ou simplement les contempler, sans les perturber ni leur nuire.

  • Ne pas faire s’envoler les oiseaux en s’approchant trop près d’eux. L’envol traduit un dérangement. L’individu est obligé d'interrompre son activité (alimentation, reproduction, nettoyage, etc.). Chaque espèce possède ses propres distances de tolérance, qu'il faut apprendre à connaître. Cela dépend aussi du lieu et du contexte : une Poule d'eau dans un parc urbain sera bien moins gêné par la présence humaine que sur un étang sauvage et peu fréquenté.
  • Ne pas s’approcher des nids afin de ne pas perturber la reproduction des oiseaux. Le dérangement peut aller jusqu’à l’abandon du nid et de la nichée chez certaines espèces.
  • Préserver l’habitat des oiseaux. On veillera par exemple à ne pas casser inutilement la végétation aux alentours lors de ses observations. Penser également qu'ouvrir une trace dans la végétation c'est faciliter ensuite le passage d'autres personnes, des chiens, des chats...
  • Disposer de matériel de qualité (jumelles performantes, longue vue sur trépied...) permet de bénéficier de bonnes conditions d'observation tout en restant suffisamment loin pour limiter les perturbations. Eviter les vêtements de couleur vive. L’utilisation de filet de camouflage peut parfois être utile lorsqu'on se place en affût avant l'arrivée des oiseaux sur la zone d'observation.
  • Eviter nuisances sonores à proximité des oiseaux. La pratique de la "repasse" (diffuser le chant d’une espèce pour l’attirer) ne doit être réservée qu'à certaines occasions très particulières, telles que des opérations d'inventaire. En particulier en période de reproduction, les chants émis artificiellement peuvent perturber les oiseaux en leur faisant croire que des rivaux pénètrent leur territoire.
  • Veiller à ne pas s’introduire sur les terrains et propriétés privés sans l’accord préalable des propriétaires des terrains.
  • Restez courtois envers ceux que vous rencontrez, même s'ils ne partagent pas ou ne comprennent pas forcément votre passion pour les oiseaux.

 



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